Cliquez ici >>> ⛄ 10 arguments pour et contre le végétarisme
Tupeux manger régulièrement dans des fast food, te bourrer d'hormones et de cholestérol, boire des sodas, personne ne s'alarmera, mais si tu dis que tu manges des
Javais envie de lancer le sujet parce que ma soeur est pesco. Little Lullaby: Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer. Little Lullaby : Accueil Rechercher . S'enregistrer Connexion : Le deal à ne pas rater : SITRAM Set 3 poêles tous feux dont induction + poigner amovible
Leursarguments résident essentiellement dans le fait qu’il est possible de produire de la viande en petite quantité, tout en respectant l’environnement. L’herbe qui est indigeste
LEVÉGÉTARISME ET LA MÉDICINE En 1821 est apparu le livre “Thalysie” de Jean Antonie Gleizes, qui a été pendant des années un type de Bible pour les végétariens, quien plus a aussi influencé la création de la première Association Végétarienne Mondiale au Royaume-Uni. En 1846 le premier hôpital végétarien appelé Nothwood a
Lefourrage, nécessaire à leur alimentation (45%), mais aussi la décomposition du fumier(10%), au point qu'en 2006, la FAO avait tiré la sonnette d'alarme dans un rapport qui a fait date.
Site De Rencontre Homme Riche Suisse. Charles Danten a une triple formation universitaire en agronomie, en médecine vétérinaire et en traduction orientée vers la science et les études cliniques en médecine et en pharmacologie humaines. Il a pratiqué la médecine vétérinaire pendant dix-huit ans, dont dix à son propre compte. Il est l’auteur du livre à succès québécois, Un vétérinaire en colère. À la retraite mais toujours actif, l’autodidacte, journaliste citoyen et lanceur d’alerte Charles Danten se consacre à la recherche, à la rédaction et à la traduction d’articles pour son blogue, et divers médias alternatifs comme le magazine Le Harfang de la Fédération des Québécois de souche. Il nous adresse un texte polémique sur le végétarisme, que nous vous proposons de lire ci-dessous. Précision liminaire Il faut entendre dans ces pages le terme végétarien » comme un terme générique englobant tout régime à base de plantes y compris le véganisme, et le terme viande » comme un terme générique pour tout régime à base de produits animaux y compris le poisson. Comme le souhaiteraient Jacques Attali et Bill Gates, il est possible qu’un jour, pour des raisons médicales, climatiques, éthiques et spirituelles, nous abandonnions l’alimentation carnée. Mais avant de passer à l’acte, par mesure de précaution, afin d’être sûr de ne pas faire fausse route, assurons-nous d’abord que ce flip-flop radical de la viande au tofu est pleinement justifié. Raisons médicales Selon les chercheurs Frédéric Leroy et Nathan Cofnas, les études observationnelles utilisées pour élaborer les politiques alimentaires actuelles axées sur l’alimentation végétarienne sont trop souvent partielles et inexactes. Elles échouent très souvent, lorsqu’elles sont testées avec des essais randomisés contrôlés, l’étalon de référence. Elles sont un outil utile pour la génération d’hypothèses, mais, selon Leroy et Cofnas, leurs conclusions en tant que telles ne doivent pas servir à la mise en œuvre des politiques de santé en l’absence de justifications supplémentaires. Cela est particulièrement vrai, précisent les chercheurs Leroy et Cofnas, lorsque les résultats sont contre-intuitifs, comme c’est le cas pour la viande, étant donné sa longue histoire en tant qu’aliment essentiel dans l’alimentation de notre espèce. » De fait, le régime riche en gras saturés et en cholestérol n’est pas si mauvais pour la santé que le prétendent les végétariens. En effet, selon le collège des cardiologues américains, les aliments riches en acides gras saturés comme les produits laitiers entiers, la viande non transformée et le chocolat noir ne sont pas associés à un risque accru de maladies cardiovasculaires ». Une constatation étayée entre autres par une étude publiée dans The American Journal of Clinical Nutrition La Revue américaine de la nutrition clinique. Selon les données épidémiologiques actuelles, il n’existe par ailleurs aucun lien causal clair entre la consommation de viande rouge, par exemple, et les maladies chroniques comme le cancer colorectal. Selon les scientifiques Frédéric Leroy et Nathan Cofnas Le dossier scientifique contre la viande rouge du Centre international de recherche sur le cancer CIRC de l’Organisation mondiale de la santé OMS des Nations unies a été exagéré, rendant un mauvais service au public ». L’affirmation du CIRC 2015 selon laquelle la viande rouge est probablement cancérigène » n’a jamais été étayée. De fait, une évaluation des risques par Kruger et Zhou 2018 a conclu que ce n’était pas le cas. De plus, les données de l’anthropologie et de la biologie sont éloquentes, nous sommes des omnivores à forte tendance carnivores. Si nos ascendants du jardin d’Éden étaient herbivores, avec l’invention des outils il y a au moins 2,5 millions d’années nous avons en effet évolué vers un régime à base de viande. Nous sommes d’ailleurs merveilleusement bien adaptés, anatomiquement et physiologiquement pour manger de la viande. La consommation de viande a par ailleurs joué un rôle essentiel dans l’augmentation de la taille du cerveau des hominidés. Instinctivement, la viande et ses dérivés sont les aliments les plus recherchés des humains partout dans le monde. Et ce n’est pas un besoin d’origine culturelle qui peut être transgressé facilement ; c’est un besoin anthropologique voir ci-dessous. Six vérités sur les végétariens 1 La plupart des végétariens ne sont pas vraiment végétariens 66 % des végétariens » ont en effet mangé des produits animaux au cours des dernières 24 heures. 2 Les gens mentent à propos de leur consommation de viande les femmes à qui des chercheurs ont dit, en effet, qu’elles allaient regarder un film sur un abattoir ont menti sur ou, comme le dit l’étude, sous-déclaré stratégiquement » la quantité de viande qu’elles mangeaient. 3 84 % des personnes qui arrêtent de manger de la viande finissent par changer d’avis et retournent à un régime qui comprend des produits d’origine animale. 4 Des chercheurs britanniques ont découvert que seulement 25 % des personnes qui affirmaient avoir réduit leur consommation de viande l’ont fait. 5 Les végétariens dont une majorité sont des femmes souffrent souvent de dépression et de troubles de l’alimentation — selon certains scientifiques, le végétarisme serait un trouble occulte des conduites alimentaires. 6 Ça n’a pas toujours été le cas, mais le végétarisme est surtout une idéologie de la gauche, et c’est sans doute la principale vérité qu’il faut retenir de cette liste le végétarisme est un mensonge de la pensée libérale ». Certes, le fait que nous soyons biologiquement adaptés à un régime contenant une quantité importante de viande ne prouve pas en soi que les régimes végétariens sont malsains. Cependant, lorsqu’il s’agit de pratiquement toutes les autres espèces, nous tenons généralement pour acquis que le meilleur régime pour une espèce en captivité est celui qu’elle avait dans la nature. Et ce n’est pas un simple appel à la tradition. Les dérogations ne sont pas sans conséquence. Chez le chat, par exemple, il existe un lien incontestable entre le diabète et le pourcentage élevé de céréales dans la nourriture commerciale. Comment expliquer ce fait ? Eh bien le chat étant un pur carnivore, son organisme est incapable de métaboliser une si grande quantité de céréales. Et les humains ne font pas exception à ce principe. En raison de son importance démesurée accordée aux hydrates de carbone et aux céréales, des scientifiques ont fait un lien entre le fameux guide alimentaire de l’Université Harvard axée sur l’alimentation végétarienne et la source de l’épidémie d’obésité morbide et de diabète qui sévit actuellement aux États-Unis. Raisons climatiques N’en déplaise à Jacques Attali— qui déclarait face à Jean-Jacques Bourdin, si nous étions tous végétariens, le problème du méthane [des élevages bovins] serait réglé, ce qui représente 40 % des gaz à effet de serre » —, selon de nombreux climato-réalistes, il n’y aurait aucun lien entre les éructations et les flatulences de bovins et le réchauffement climatique puisque le réchauffement ou, selon la nouvelle dénomination en vigueur, le changement » climatique anthropique est un mensonge concocté par les mondialistes à des fins idéologiques et financières. De fait, selon entre autres La Pétition de l’Oregon, signée par 31 500 scientifiques de haut niveau dont 9 000 sont titulaires d’un doctorat en physique atmosphérique, en climatologie et en météorologie Il n’existe aucune preuve convaincante que les rejets de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront dans un avenir prévisible un réchauffement catastrophique de l’atmosphère terrestre et une perturbation du climat de la Terre. De plus, il existe des preuves scientifiques substantielles selon lesquelles l’augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique produit de nombreux effets bénéfiques sur l’environnement naturel végétal et animal de la Terre. À l’instar de la fausse étude de la revue The Lancet sur l’hydroxychloroquine, la même revue a rejeté la fausse étude EAT-Lancet financée entre autres par la Fondation Rockefeller, un membre éminent de la Société fabienne, l’un des piliers financiers de l’Agenda 2030 et de la Grande remise à zéro de l’ONU. Cette pseudo-étude recommandait un régime végétarien afin de réduire l’impact des pets » de bovidés et donc de la viande rouge sur le climat. Or, selon les chercheurs Frédéric Leroy et Nathan Cofnas Une réduction importante de la consommation de viande, comme celle préconisée par la Commission EAT-Lancet pourrait entraîner de graves dommages. La viande est depuis longtemps, et continue d’être notre principale source de nutrition de haute qualité. La théorie selon laquelle elle peut être remplacée par des légumineuses et des suppléments n’est que pure spéculation. Alors que les régimes riches en viande se sont révélés efficaces au cours de la longue histoire de notre espèce, les avantages des régimes végétariens sont loin d’être établis et ses dangers ont été largement ignorés par ceux qui les ont approuvés prématurément sur la base de preuves discutables. Raisons éthiques La souffrance des animaux est sans aucun doute le principal souci des végétariens, des antispécistes et des humains en général, notamment dans les pays occidentaux nordiques, car personne sauf exception ne veut faire souffrir un animal. Il est important que l’homme domine sur le bétail sur toute la Terre », nous sommes après tout des prédateurs nés, au sommet de la chaîne alimentaire, mais ce n’est pas un chèque en blanc. Nous nous devons en échange de traiter ce cheptel providentiel avec le respect qu’il mérite. Ce qui présuppose que les animaux soient élevés dans des conditions qui respectent leur besoin de socialisation, d’espace, d’air frais, d’eau et de nourritures saines. Chaque fois que c’est possible, évitez par conséquent les élevages concentrationnaires où les animaux sont élevés aux antibiotiques et aux additifs alimentaires avec un sadisme qui dépasse l’entendement même du point de vue productiviste. Vous vous porterez mieux et les animaux aussi. Il va sans dire dès lors que les abattages hallal et casher, deux traditions inutilement cruelles et irrespectueuses des animaux, n’ont pas leur place dans un pays civilisé comme le nôtre. Si les commandements sacrés ordonnent que le sang s’écoule de l’animal vivant, les méthodes modernes d’abattage avec étourdissement correspondent aux rituels religieux bien mieux que la méthode religieuse. Interdisons donc ces pratiques d’un autre temps comme l’a fait la Suisse en 1893 et plus récemment la Suède, le Danemark, la Slovénie et, en janvier 2019, la Belgique. Pour une meilleure prise en compte de la souffrance animale, construisons nos élevages et nos abattoirs sur le modèle préconisé par Temple Grandin, docteure zootechnicienne de renommée internationale. Si elle était un animal herbivore, déclare Temple Grandin, elle “préférerait mourir dans un abattoir” doté d’un système qu’elle a conçu pour rendre l’opération sans douleur, plutôt que dans la nature, en souffrant de la faim ou dans la conscience de l’attaque d’un prédateur au début de sa carrière, elle a vu dans un ranch en Arizona un veau toujours vivant partiellement dévoré par des coyotes, et en a conclu que “la Nature peut être très rude” ». De fait, la nature n’est pas un jardin d’Éden où, pour paraphraser la Bible, toutes les créatures sont réconciliées ; le loup habite avec la brebis ; le tigre repose avec le chevreau ; veau, lionceau, bélier vivent ensemble et un jeune enfant les conduit. Cette image idyllique véhiculée par les films de Disney, par exemple, n’existe pas. Dans la nature, c’est qui mangera qui, et dans cette jungle où règne la loi du plus fort, les bons sentiments et la notion de cruauté propre aux humains n’ont aucune place. Raisons spirituelles Il n’existe aucun lien entre la bonté d’une personne et le fait d’être végétarien. On trouve de tout dans ce domaine. Le Dalaï-Lama, par exemple, qui n’est pourtant pas une personne dénuée de bonté et de compassion, est un mangeur de viande. Alors que l’assassin Charles Manson était végétarien ! Les hindous, y compris les brahmanes, qui sont pourtant végétariens, sont d’une cruauté inouïe envers les animaux, autant la vache dite sacrée que les chiens et les chats. Même Gandhi ne parvint pas au nom de la bonté universelle à empêcher les laitiers hindous de laisser délibérément leurs veaux mourir de faim afin de vendre quelques litres de lait de vache supplémentaires », déplorait l’égérie du Front de libération animale Maximiani Portas dite Savitri Devi 1905-1982. On peut en dire autant de Brigitte Bardot qui fait la promotion tapageuse de la zoothérapie et des animaux de compagnie tout en cassant du sucre sur les éleveurs d’animaux de boucherie, alors qu’animaux de compagnie et animaux de boucherie, c’est bonnet blanc et blanc bonnet. Ce sont en effet tous les deux des animaux domestiques exploités par l’homme. Brigitte Bardot est pourtant bien placée pour savoir que la commercialisation massive des animaux de compagnie, stimulée par les observations anecdotiques du psychiatre américain Boris Levinson, qui sont devenues le leitmotiv de cette industrie, n’est pas sans conséquence sur les animaux de compagnie à tous les niveaux de la chaîne de consommation production, vente, entretien, réparation et recyclage. Conclusions Bien que la viande soit un élément central du régime alimentaire de notre espèce depuis des millions d’années, dans le cadre de l’Agenda 2030 et de la Grande remise à zéro, certaines autorités comme l’Europe de Bruxelles, l’ONU, les oligarques comme Jacques Attali et Bill Gates ainsi que les technocrates de Davos cherchent à la faire abolir. Mais les raisons évoquées par ces autorités n’ont absolument rien à voir avec la santé, le climat, l’éthique et la spiritualité, mais tout à voir avec des raisons financières et idéologiques ; elles sont en effet toutes acoquinées avec l’industrie des substituts de viande, les militants du mondialisme et du climat, du droit des animaux et d’autres formes de végétarisme idéologique, comme l’adventisme du septième jour. Les arguments contre le régime carné ne reposent sur rien de concret. L’affirmation selon laquelle la viande est un aliment malsain » n’est absolument pas étayée. L’élevage qui peut certes être polluant n’a aucun impact négatif sur le climat. Manger de la viande ne fait de vous ni un monstre sanguinaire ni un méchant suprématiste humain comme le prétend Ingrid Newkirk, la Brigitte Bardot du mouvement animalitaire américain People for the Ethical Treatment of Animals. Charles Danten Crédit photo Flickr cc protected]/48472193827 [cc] 2022, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Ce jeudi, partout dans le monde, notamment en France et surtout à Lyon, on célébrera le Beaujolais Nouveau. Cette forte tradition avant tout locale rappelons pour les ignares et les nuls en géo que le village de Beaujeu est situé à 60km de Lyon possède autant d’adeptes que de détracteurs. Alors, doit-on fêter l’arrivée de cette nouvelle cuvée de Beaujolais, en 2013 ? On a posé la question à nos lecteurs via notre page Facebook et notre compte Twitter et avons sélectionné 3 arguments contre et 3 arguments pour. C’est dégueulasse ! “Je n’ai jamais compris pourquoi on faisait tout un foin pour ce vin très quelconque” On va pas se mentir, hein ! Le Beaujolais n’est pas un grand vin. Pourquoi faire la fête pour un vin qu’on commande en pot quand on se fait un bistro le midi ? Le coup de la banane “Alors que la situation économique du pays s’aggrave de jour en jour. Il inquiétant de voir autant de gens s’interroger pour savoir si le Beaujolais Nouveau a un gout de framboise ou de banane plutôt que de trouver des solutions au chômage et à la misère…” Franchement avez-vous déjà senti un gout de banane dans du vin ? On a parfois un peu du mal à comprendre l’engouement autour du Beaujolais Nouveau et cette nécessité de savoir quel gout il a. Mais bon tout le monde en parle et ce vendredi, à la machine à café, la traditionnelle question “Tu fais quoi ce week-end?” sera remplacée par “Alors il a quelque gout le Beaujolais ?”. Une beuverie marketée “Le marketing récupère tout ! Il fallait bien qu’il fasse quelque chose autour des beuveries en groupe. Des gens avec des diplômes ont baptisé ça le Beaujolais Nouveau. Ca reste toujours aussi alcoolisé, mais il y a maintenant un concept derrière. En plus il y a un coté terroir, les bobos sont ravis.” La tradition du Beaujolais Nouveau n’est plus ce qu’elle était. Quand on voit les rayons des supermarchés plein de bouteilles et les japonais s’enthousiasmaient pour ce vin médiocre, on se dit que tout ça est allé beaucoup trop loin pour ce qui était au départ une simple dégustation de vin primeur. Pour le Beaujolais Nouveau La tradition “Oui c’est devenu très marketing, mais c’est aussi l’occasion de faire la fête avec ses collègues et ses potes. Bref ça crée du lien, c’est ce qui importe le plus” L’hiver approche, l’ambiance est maussade… Un petit coup de Beaujolais et ça repart ! Le Beaujolais est un vrai bon moment partagé, alors même si c’est un peu commercial, on aurait tort de s’en priver. Les trucs à coté “Le Beaujolais Nouveau n’est qu’un prétexte. Le mieux reste encore le fromage fort tartiné sur du pain frais grillé et quelques bonnes tranches de saucisson artisanal.” Le Beaujolais Nouveau, c’est aussi l’occasion de se rappeler comme si on pouvait l’oublier tous les bons produits que propose la région lyonnaise. Alors, on se lâche sur le fromage et la charcuterie ! Le bon Beaujolais “Les gens qui trouvent le Beaujolais Nouveau dégueulasse sont toujours ceux qui achètent leurs bouteilles au supermarché. Coïncidence ?” Il ne faut pas vous s’étonner que votre bouteille achetée au Franprix pique un peu. Le Beaujolais Nouveau est un bon vin pour peu qu’on se donne la peine de faire un petit effort. L’idéal est d’aller le chercher directement sur place auprès d’un petit vigneron qui vous filera quelques bouteilles avant le jour J. Et vous ? Choisissez votre camp ! Donnez votre avis dans les commentaires en inscrivant “pour” ou “contre” en début de votre message. Les bons plans de CityCrunch pour le Beaujolais Nouveau Nous ne pouvions pas finir cet article sans quelques bons plans Beaujolais Nouveau Dès ce soir, à la Confluence ! Le Beaujolais Nouveau c’est ce mercredi à minuit. Mais les festivités commencent dès 19h à la Confluence avec un apéro géant. Au programme roulé de tonneaux, show pyrotechnique, bouffe, DJ et bien sûr perçage de tonneaux et dégustation aux 12 coups de minuit. C’est GRATUIT ! Plus d’info Ce jeudi, en mode solidaire On peut picoler et sauver le monde, si, si. La preuve avec la soirée Beaujolais Nouveau organisée par l’Entraide Protestante L’association fournit vêtements, nourriture, aide, garde aux plus démunis, sans distinction de clivage religieux ou autre. Tous les bénéfices seront reversés aux plus démunis. Plus tu bois avec modération ou quelqu’un d’autre plus tu aides les gens. C’est pas beau ? Ca se passe au 12 rue Corneille, dans le 3ème arrondissement de 18h30 à 20h Plus d’info On vous souhaite un très bon Beaujolais Nouveau 2013 et vous rappelle que l’abus d’alcool est dangereux pour la santé. Véritable gardien du temple à l’origine de CityCrunch cela fait bien longtemps qu’il a perdu la clé et laisse entrer tout le monde. Accro à la street food, aux jeux vidéo rétro et aux sports de glisse, Qyrool voue une passion secrète pour les Lego. ➔ Suivez Qyrool sur Instagram. Trouvez d'autres articles qui parlent de Beaujolais nouveau Un dernier article pour la route Quoi?! Vous ne suivez pas encore Lyon CityCrunch sur Instagram? Oh lala ! C'est par ICI.
Végétarisme est un subjuct très intéressant, est-ce mieux d'être pour ou être contre?Il ya beaucoup d'arguments pour et contre, et même si la plupart des gens mangent de la viande, beaucoup ne sont manger de la viande? il a un goût délicieux! et beaucoup de choses n'ont pas le même goût sans elle! Aussi, il contribue à maintenir un régime équilibré et fournit des protéines et autres nutriments que vegatables ne peut beaucoup de gens sont végétarien, pourquoi? l'éthique, par exemple, les gens ne sont pas satisfaits des conditions d'élevage. Aussi, si on est un environnementaliste, on sait que le production de la viande produit beaucoup de méthane, qui est mauvais pour l'environnementMoi? je suis moi? Je suis un carnivore! j'aime la viande!
Résumés Au tournant des xixe et xxe siècles, alors que la consommation de viande a la faveur de la médecine dominante et se généralise dans les sociétés occidentales, le mouvement végétarien français et belge, qui s’organise autour de sociétés végétariennes menées par des médecins et des hygiénistes, cherche à démontrer scientifiquement les avantages du régime végétarien, pour le corps et pour la morale. Cet article s’intéresse aux méthodes choisies pour administrer cette preuve, malgré le caractère controversé des résultats obtenus, en se focalisant sur trois enquêtes dont les auteurs et autrices entretiennent des rapports différents avec le champ scientifique et le mouvement végétarien. Il montre que l’enquête médicale constitue une forme suffisamment souple pour intégrer des données physiologiques, expérimentales et sociales, ce qui en fait un outil se prêtant bien à la réappropriation par le mouvement végétarien, qui cherche à gagner en légitimité, notamment dans le domaine de la réforme sociale. At the turn of the xixth and xxth centuries, whereas meat consumption was supported by mainstream medicine and becoming widespread in Western societies, the French and Belgian vegetarian movement evolving in vegetarian circles led by physicians and hygienists was trying to prove scientifically the physical and ethical benefits of a vegetarian diet. This paper deals with the methods that were chosen to offer scientific evidence, in spite of the controversial nature of such results, by focusing on three inquiries whose authors, whether men or women, diverge in their dealings with the scientific field and the vegetarian movement. The paper also shows that the medical inquiry is a fairly adaptable form integrating physiological, experimental and social data, which makes it a relevant tool for the vegetarian movement self-appropriation in order to enhance its legitimacy, especially in the field of social reform. h A finales del siglo xix y comienzos del siglo xx, cuando el consumo de carne contaba con el beneplácito de la medicina dominante y se generalizaba en las sociedades occidentales, el movimiento vegetariano francés y belga, organizado en torno a sociedades vegetarianas dirigidas por médicos e higienistas, intentó demostrar científicamente los beneficios de una dieta vegetariana, tanto para el cuerpo como para la moral. Este artículo examina los métodos elegidos para proporcionar esas pruebas, a pesar de la naturaleza controvertida de los resultados, centrándose en tres investigaciones cuyos autores tienen diferentes relaciones con el campo científico y el movimiento vegetariano. El artículo muestra que la investigación médica es una forma lo suficientemente flexible como para integrar datos fisiológicos, experimentales y sociales, lo que la convierte en una herramienta de la que el movimiento vegetariano puede apropiarse para ganar legitimidad, especialmente en el ámbito de la reforma de page Entrées d’index Haut de page Notes 1 Appréciations anglaises sur le Congrès végétarien », La Réforme alimentaire, 15 1, janvier 1911, p. 12. 2 Des sociétés végétariennes sont également créées aux États-Unis en 1850 ou encore en Allemagne en 1867. Arouna P. Ouédraogo, Le végétarisme. Esquisse d’histoire sociale, Ivry-sur-Seine, INRA, 1994 ; Arouna P. Ouédraogo, Vegetarianism in Fin-de-siècle France. The Social Determinants of Vegetarians’ Misfortune in Pre-World War I France », dans Alexander Fenton dir., Order and Disorder, East Linton, Tuckwell Press, 2000 ; Arouna P. Ouédraogo, De la secte religieuse à l’utopie philanthropique. Genèse sociale du végétarisme occidental », Annales, 4 55, 2000, p. 825-843 ; James C. Whorton, Vegetarianism », dans Kenneth Kiple et al. dir., The Cambridge World History of Food, Cambridge, Cambridge University Press, 2000, p. 1553-1564. 3 James Gregory, Of Victorians and Vegetarians. The Vegetarian Movement in Nineteenth-Century Britain, London, Tauris Academic Studies, 2007 ; Adam D. Shprintzen, The Vegetarian Crusade. The Rise of an American Reform Movement, 1817-1921, Chapel Hill, University of North Carolina Press, 2013. 4 Hans-Jürgen Teuteberg, Zur Sozialgeschichte des Vegetarismus », Vierteljahrschrift für Sozial und Wirtschaftsgeschichte, 1994, p. 33-65 ; Eva Barlösius, Naturgemässe Lebensführung. Zur Geschichte der Lebensreform um die Jahrhundertwende, Frankfurt, Campus, 1997 ; Anne-Marie Pailhès, Le végétarisme dans l’Allemagne contemporaine et l’héritage de la Lebensreform », Recherches germaniques, hors-série 11, 2016, p. 219-229. 5 Christian Topalov, Laboratoires du nouveau siècle. La nébuleuse réformatrice et ses réseaux en France, 1880-1914, Paris, Éditions de l’EHESS, 1999, p. 13. 6 Arnaud Baubérot, Histoire du naturisme. Le mythe du retour à la nature, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2004. 7 Selon Yvan Lepage, la consommation de viande en France passe de 19 kg par an et par habitant entre 1803 et 1812 à 40 kg entre 1885 et 1894. Yvan Lepage, Évolution de la consommation d’aliments carnés aux xixe et xxe siècles en Europe occidentale », Revue belge de philologie et d’histoire, 80 4, 2002, p. 1459-1468 ; Nick Fiddes, Meat. A Natural Symbol, Londres, Routledge, 1991. 8 Gérard Jorland, Une société à soigner. Hygiène et salubrité publiques en France au xixe siècle, Paris, Gallimard, 2010, p. 181-201. 9 Par exemple Société végétarienne de France », La Réforme alimentaire, 3 2, février 1899. 10 Arouna P. Ouédraogo, Le végétarisme. Esquisse d’histoire sociale, op. cit, 1994 ; Arnaud Baubérot, Histoire du naturisme…, op. cit. 11 Nathalie Montel, Établir la vérité scientifique au xixe siècle. La controverse sur la différence de niveau des deux mers 1799-1869 », Genèses, 32, 1998, p. 86-109 ; Dominique Pestre, Pour une histoire sociale et culturelle des sciences. Nouvelles définitions, nouveaux objets, nouvelles pratiques », Annales, 50 3, 1995, p. 487-522. 12 Anne Lhuissier, Alimentation populaire et réforme sociale. Les consommations ouvrières dans le second xixe siècle, Paris, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, 2007 ; Yvan Lepage, Évolution de la consommation d’aliments… », art. cit. 13 Selon Yannick Barthe, défendre une cause consiste d’abord à établir des causes » Yannick Barthe, Cause politique et “politique des causes”. La mobilisation des vétérans des essais nucléaires français », Politix, 91 3, 2010, p. 77-102. 14 Bruno Latour, Steve Woolgar, Laboratory Life. The Social Construction of Scientific Facts, Beverly Hills, Sage Publications, 1979. 15 Christian Topalov, Histoires d’enquêtes, Londres, Paris, Chicago 1880-1930, Paris, Classiques Garnier, 2015, p. 383. 16 Anna Kingsford, De l’alimentation végétale chez l’homme, Paris, impr. A. Parent, 1880. 17 Louis Landouzy, Henri Labbé et Marcel Labbé, Enquête sur l’alimentation d’une centaine d’ouvriers et d’employés parisiens. Ce qu’elle est irraisonnée, insuffisante, insalubre, dispendieuse ; ce qu’elle pourrait être rationnelle, suffisante, salubre, économique, Paris, Masson et Cie, 1905. 18 Josefa Joteyko et Varia Kipiani, Enquête scientifique sur les végétariens de Bruxelles. Leur résistance à la fatigue étudiée à l’ergographe, la durée de leurs réactions nerveuses, considérations énergétiques et sociales, Paris, Société végétarienne de France, 1907. 19 Anson Rabinbach, Le moteur humain. L’énergie, la fatigue et les origines de la modernité, Paris, La Fabrique, 2004, p. 34 ; Christian Topalov, Langage de la réforme et déni du politique. Le débat entre assistance publique et bienfaisance privée, 1889-1903 », Genèses, 23, 1996, p. 30-52. 20 Société végétarienne de France. Statuts », La Réforme alimentaire, 3 3, mars 1899, p. 2 ; La Société belge pour l’étude de la réforme alimentaire », La Réforme alimentaire, 1 1, octobre 1897, p. 10 ; Chloé Gaboriaux, Une construction sociale de l’utilité publique. Associations et fondations devant le Conseil d’Etat 1870-1914 », Genèses, 109 4, 2017, p. 57-79 ; Christian Topalov, Laboratoires du nouveau siècle…, op. cit. 21 Arouna P. Ouédraogo, Le végétarisme. Esquisse d’histoire sociale, op. cit. 22 La composition sociale de la SVF entre 1899 et 1914 a été étudiée de manière détaillée dans notre mémoire de master 2 La bonne digestion et l’hygiène alimentaire. Sociologie historique d’un mouvement réformateur en faveur du végétarisme en France 1880-1914, mémoire de master 2 sous la direction d’Anne Lhuissier, École normale supérieure/École des hautes études en sciences sociales, 2018. 23 Société végétarienne de France. Liste des membres arrêtée au 15 novembre 1905, Laval, Lecerf, 1905. 24 Société végétarienne de France. Statuts », art. cit. 25 Ernest Bonnejoy, Les végétariens d’instinct », La Réforme alimentaire, décembre 1881, p. 125. 26 Georges Dujardin-Beaumetz, L’hygiène alimentaire, Paris, Doin, 1887 ; Ceri Crossley, Consumable Metaphors. Attitudes towards Animal and Vegetarianism in Nineteenth-Century France, Oxford, Peter Lang, 2005. 27 Par exemple, Les formes atténuées de la grippe et principes de traitement, par H. Huchard », séance du 27 février, Bulletin de l’Académie de médecine, 1900, p. 189. 28 Kenneth J. Carpenter, Protein and Energy. A Study of Changing Ideas in Nutrition, Cambridge, Cambridge University Press, 1994 ; Thomas Depecker, La loi des tables. Quantification du besoin alimentaire et réforme des conduites de vie xixe-xxe siècles, thèse de doctorat de sociologie, Paris, École des hautes études en sciences sociales, 2014. 29 Anne Rasmussen, “L’alimentation rationnelle” une médicalisation du discours sur l’alimentation », compte rendu de la séance 6 de la troisième saison du séminaire Médias et médiatisations de la gastronomie, xviie-xxie siècles », organisé par Françoise Hache-Bissette et Denis Saillard, 8 mars 2016, en ligne consulté le 2 octobre 2021 ; Anne Rasmussen, L’alimentation rationnelle du soldat. Les sciences de la nutrition à l’épreuve de la guerre », dans Caroline Poulain dir., Manger et boire, entre 1914 et 1918, Gand, Snoeck, 2016, p. 61. 30 Elizabeth Neswald, David F. Smith et Ulrike Thoms, Setting Nutritional Standards. Theory, Policies, Practices, Rochester, University of Rochester Press, 2017, p. 76. 31 Consulter en particulier Claude Fischler, L’homnivore. Le goût, la cuisine et le corps, Paris, Odile Jacob poches, 2001, chapitre 5 La chair, le partage et l’ordre social », p. 117-148. 32 Adolf Fick et Johannes Wislicenus, Recherches sur l’origine de la force musculaire », Annales des sciences naturelles, juillet 1868. 33 Cyril Lemieux, À quoi sert l’analyse des controverses ? », Mil neuf cent, 25, 2007, p. 191-212. 34 Alison Butler, Anna Kingsford Scientist and Sorceress », in David Clifford dir. et al., Repositioning Victorian Sciences. Shifting Centres in Nineteenth-Century Thinking, Londres, Anthem Press, 2006 ; Samantha Jane Calvert, Eden’s Diet. Christianity and Vegetarianism 1809-2009, thèse de doctorat, université de Birmingham, 2013 ; Jean-Yves Bory, La douleur des bêtes. La polémique sur la vivisection au xixe siècle en France, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2013. 35 Anna Kingsford, De l’alimentation végétale chez l’homme…, op. cit. 36 Ibid., p. 18. 37 Ibid., p. 39. 38 Ibid., p. 60. 39 Sur le végétarisme antique, voir Alexandra Kovacs, Le végétarisme dans l’antiquité grecque. Norme ou marginalité ?, thèse de doctorat en histoire, université de Bourgogne Franche-Comté, 2017. 40 Anna Kingsford, De l’alimentation végétale chez l’homme…, op. cit., p. 51. 41 Sa thèse est soutenue devant des médecins reconnus comme les docteurs Léon Le Fort, Armand Gautier et Charles Richet. Dossier de scolarité d’Anna Kingsford, Archives nationales, cote AJ/16/5868. 42 Bibliographie », Bulletin de l’Académie nationale de médecine, 23, 1890, p. 308. 43 Vie féminine », Journal pour tous, 4 mars 1896 ; voir aussi, par exemple, Le Figaro du 2 août 1880, La Presse du 7 août 1880, L’Événement du 9 août 1880. 44 Bibliographie », Journal officiel de la République française, 292, 24 octobre 1880, p. 8. 45 Dr Aderholdt, Rapport général sur les travaux de la Société », La Réforme alimentaire, mars 1882, p. 182. 46 Fabien Carrié, Parler et agir au nom des bêtes » production, diffusion et réception de la nébuleuse idéologique animaliste » France et Grande-Bretagne, 1760-2010, thèse de doctorat en Sciences politiques, Université Paris Nanterre, 2015 ; Jean-Yves Bory, La douleur des bêtes..., op. cit. 47 Louis Landouzy, Henri Labbé et Marcel Labbé, Enquête sur l’alimentation d’une centaine d’ouvriers…, op. cit. ; Martin Bruegel, Un distant miroir. La campagne pour l’alimentation rationnelle et la fabrication du “consommateur” en France au tournant du xxe siècle », Actes de la recherche en sciences sociales, 4 199, 2013, p. 28-45 ; Thomas Depecker, La loi des tables…, op. cit. 48 Exposé des travaux scientifiques du Dr L. Landouzy, Paris, Masson et Cie, 1910. 49 Exposé des titres et travaux scientifiques du Dr Marcel Labbé, Paris, G. Steinheil, 1904 ; Notice sur les titres et travaux de M. Henri Labbé, Paris, impr. Chaix, 1917. 50 Henri Labbé et Edmond Morchoisne, Grandeur du besoin d’albumine dans le régime alimentaire humain, La Réforme alimentaire, 8 7, juillet 1904, p. 137-139 ; Arnaud Baubérot, Histoire du naturisme…, op. cit. 51 Louis Landouzy, Henri Labbé et Marcel Labbé, Enquête sur l’alimentation d’une centaine d’ouvriers…, op. cit., p. 4. 52 Cette enquête utiliserait pour la première fois en France les coefficients nutritionnels d’Atwater. Martin Bruegel, Un distant miroir… », art. cit. 53 Louis Landouzy, Henri Labbé et Marcel Labbé, Enquête sur l’alimentation d’une centaine d’ouvriers…, op. cit., p. 21. 54 Ibid., p. 21. 55 Ibid., p. 22. 56 Martin Bruegel, Un distant miroir… », art. cit., p. 30 ; Stéphane Baciocchi et Alain Cottereau, Observer l’inobservable dans un budget de famille ouvrière. L’expérimentation de Frédéric Le Play auprès de Francisca à Vienne Autriche, mai-juin 1853 », dans Éric Geerkens et al., Les enquêtes ouvrières dans l’Europe contemporaine, Paris, La Découverte, 2019, p. 368-386. 57 Pour une analyse détaillée de la réception de cette enquête, voir Martin Bruegel, Un distant miroir… », art. cit. ; Thomas Depecker, La loi des tables…, op. cit., p. 470 ; 58 Exposé des travaux scientifiques du Dr L. Landouzy…, op. cit., p. 201. 59 Ibid., p. 201. On retrouve dans les manuscrits relatifs à l’enseignement ménager de Marie Rauber, inspectrice des écoles primaires de filles à Paris entre 1887 et 1909, des Tables pratiques pour l’établissement des menus salubres et économiques » issues de cette enquête. Bibliothèque Marguerite Durand, cote FMR 4B3. 60 Henri Collière, L’alimentation de la classe ouvrière », La Réforme alimentaire, 10 8 août 1906, p. 181-192 et 10 9, septembre 1906, p. 206-219. 61 Henri Collière, Congrès international d’hygiène alimentaire », La Réforme alimentaire, 10 11, novembre 1906, p. 271. 62 Dossier scolaire de Joteyko, Archives nationales, cote AJ/16/6883 ; Haryett Fontanges, Les femmes docteurs en médecine dans tous les pays, Paris, Alliance coopérative du livre, 1901, p. 38. 63 Pour une étude détaillée de la trajectoire biographique de Joteyko, voir Ilana Löwy, Measures, Instruments, Methods, and Results. Jozefa Joteyko on Social Reforms and Physiological Measures », dans Gérard Jorland, Annick Opinel et George Weisz dir., Body Counts. Medical Quantification in Historical and Sociological Perspectives, Montréal, McGill-Queen's University Press, 2005 ; Anson Rabinbach, Le moteur humain…, op. cit. ; Josefa Joteyko, Entraînement et fatigue au point de vue militaire, Bruxelles, Mish et Thron, 1905. 64 Josefa Joteyko et Varia Kipiani, Enquête scientifique sur les végétariens de Bruxelles…, op. cit., p. 4-9. 65 Ibid., p. 9. 66 Sociétés », La Réforme alimentaire, 9 11, novembre 1905, p. 209. 67 Josefa Joteyko et Varia Kipiani, Enquête scientifique sur les végétariens de Bruxelles…, op. cit., p. 6. 68 Ibid., p. 40. 69 Angelo Mosso, La fatica, Milan, Frateli Treves, 1891. 70 Anson Rabinbach, Le moteur humain…, op. cit., p. 237. 71 Lettre de Josefa Joteyko à Henri Piéron du 15 août 1904, Bibliothèque Henri Piéron, cote 1 FP, dossier Joteyko. 72 Ibid., p. 50. 73 Correspondances, l’alimentation des travailleurs, par Mlles le Dr Ioteyko et V. Kipiani », La Réforme alimentaire, 11 5, mai 1907, p. 96. 74 Ilana Löwy, Measures, Instruments, Methods, and Results… », art. cit. 75 Séance du 13 décembre 1908 », Bulletin de l’Académie nationale de médecine, p. 536. 76 Dr Toulouse, Faut-il être végétarien ? », Le Journal, 19 décembre 1906, p. 1. 77 Enquête sur les enfants végétariens », La Réforme alimentaire, avril 1910, p. 104 ; Compte rendu du congrès végétarien de Bruxelles, 1910, Bruxelles, Librairie végétarienne, 1910 ; Josefa Joteyko, L’enfance végétarienne. Enquête sur 170 Enfants végétariens, Bruxelles, Mish et Thron, 1911. 78 Ilana Löwy, Measures, Instruments, Methods, and Results… », art. cit., p. 147. 79 Ibid. 80 Arouna P. Ouédraogo, Le végétarisme. Esquisse d’histoire sociale…, op. cit., 1994, p. 97 ; Christian Topalov, Langage de la réforme et déni du politique… », art. cit. 81 Josefa Joteyko et Varia Kipiani, Enquête scientifique sur les végétariens de Bruxelles…, op. cit., 1907, de page Pour citer cet article Référence papier Alexandra Hondermarck, La preuve par l’enquête médecins et promotion du végétarisme en France et en Belgique autour de 1900 », Histoire, médecine et santé, 19 2022, 39-56. Référence électronique Alexandra Hondermarck, La preuve par l’enquête médecins et promotion du végétarisme en France et en Belgique autour de 1900 », Histoire, médecine et santé [En ligne], 19 été 2021, mis en ligne le 12 janvier 2022, consulté le 16 août 2022. URL ; DOI de page
Alors que le Sénat examine mardi après-midi le projet de loi sur l’immigration, un des principales mesures, les tests ADN comme preuve de filiation dans la procédure de regroupement familial, continue de diviser la classe politique. Si la gauche est globalement contre, la mesure a également semé le trouble chez les parlementaires UMP. Petite cartographie non exhaustive pour s’y pour Thierry Mariani, député UMP à l’origine de l’amendement Il ne s’agit que d’un outil de plus à disposition de l’immigrant dans l’arsenal administratif actuel. Aujourd’hui, les consulats bloquent pendant des mois l’obtention de visas quand ils sont face à des états civils douteux. Le test ADN permettra tout simplement d’accélérer la procédure pour ceux qui veulent prouver leur bonne foi.» Laurent Wauquiez, porte-parole du gouvernement c'est quand même un sujet sur lequel on n'est pas non plus totalement sur du politiquement incorrect tel que peuvent le dénoncer les beaux esprits». De très nombreux pays européens ont déjà les tests ADN».Brice Hortefeux, ministre de l’Immigration et de l’Identité nationale Douze pays européens parfaitement démocratiques y ont déjà recours l’Allemagne, le Royaume-uni, l’Espagne, l’Italie mais aussi l’Autriche, la Belgique, le Danemark, la Finlande, la Lituanie, la Norvège, les Pays-Bas, la Suède ». Dès lors, la France doit-elle se tenir à l’écart en refusant d’adopter une technique éprouvée par ses partenaires européens?» Jean-François Copé, président du groupe UMP à l’Assemblée Nous sommes plutôt partisans de la solution que nous avons adoptée à l'Assemblée. Nous avons eu un débat difficile la semaine dernière, il y a eu des sous-amendements du gouvernement qui ont permis d'avoir un texte équilibré. C'est pour faciliter les procédures pour ceux qui sont candidats au regroupement familial».Les contreCharles Pasqua, sénateur UMP des Hauts-de-Seine et ancien ministre de l'Intérieur Le choix des tests ADN n'est pas acceptable ... Cela rappelle de mauvais souvenirs, à nous gaullistes. On sait l'usage qu'ont fait les nazis de la génétique».Michel Rocard, ancien Premier ministre PS On sait très bien que jeter, grâce au test ADN, le doute dans bien des familles qui n'en ont pas besoin est une chose extrêmement dangereuse».Amnesty international France. L'amendement risque de conduire les services consulaires à mettre systématiquement le doute sur l'authenticité des documents présentés et à considérer l'absence d'une telle demande comme la reconnaissance implicite d'une demande frauduleuse».Jean-Pierre Jouyet, secrétaire d'Etat aux Affaires européennes issu de la gauche Je trouve que cette proposition de tests ADN dans le cadre du traitement des demandes de visas n'est pas opportune que dirait-on si l'on imposait des tests ADN pour des Français candidats à l'émigration? Comment traitera-t-on les demandes relatives aux adoptions?»Jean-Pierre Raffarin, sénateur UMP, ancien Premier ministre La suppression par le Sénat de l’amendement voté à l’Assemblée n’est pas une fronde» mais de la sagesse». Le débat a lieu aussi à l'intérieur du gouvernement».
10 arguments pour et contre le végétarisme